Mardi 20 février 2018
De bon matin, je vais à la gare de bus à pied (20 minutes de marche). Aussitôt un collectivo part pour ma destination, Sayaxché (ça ne s'invente pas)
Pour arriver au village, il faut traverser la rivière en bateau car il n'y a pas de ponts. Il y a aussi des petites pirogues pour les piétons.
Il y a 2 moyens pour se rendre aux ruines de Ceibal, soit en bateau (Q550), soit par la route (Q4 = 8 kms de piste).
J'opte évidemment pour la seconde solution et me fais déposer au croisement de la piste.
A l'épicerie, je laisse mon gros sac à dos et mon passeport (j'ai entendu dire qu'il pouvait y avoir des bandits sur la piste.
1h30,j'arrive enfin au site non sans m'être battu dans la jungle avec les moustiques !
Le grand avantage ici, c'est qu'il n'y a pas un chat, pas un seul touriste, donc le site entier est à moi !
Évidemment, il est beaucoup moins grand et donc moins important que Tikal, mais tout de même, il ne manque pas de charme.
En discutant avec les gardes, ils m'offrent à déjeuner. Sympa, soupe au poulet, mais surtout soupe :)
Au moment où je pars, un autre garde arrive avec sa petite moto. Je sens la providence et lui demande s'il peut me ramener sur la route, moyennant finance cela va de soi. Mais ça m'éviterait les 8 kilomètres de retour sous le soleil battant, il est 13h...
Il accepte :)
De retour au croisement, un bus passe pour le sud 15 minutes plus tard. Je ne sais pas où je vais mais je sais que c'est vers le sud :).
On arrive vers 16h à Rux. Là, j'hésite, mais d'abord, il faut que je fonce dans un resto ! À 20 mètres se trouve un petit hôtel ou j'élis domicile. En effet, c'est risqué de continuer à cette heure là sans avoir de point de chute, ni connaître les transports suivants...
Une bonne douche, dont l'eau finit directement dans la rivière, est mon salut.
Le soir, je marche le long de la seule route du village et dégote un autre restaurant, plein de gens, c'est bon signe !
En lisant mon livre, que je n'avais pas lors de la visite de Ceibal, je me rends compte que j'ai zappé la moitié du site !!!
De bon matin, je vais à la gare de bus à pied (20 minutes de marche). Aussitôt un collectivo part pour ma destination, Sayaxché (ça ne s'invente pas)
Pour arriver au village, il faut traverser la rivière en bateau car il n'y a pas de ponts. Il y a aussi des petites pirogues pour les piétons.
Il y a 2 moyens pour se rendre aux ruines de Ceibal, soit en bateau (Q550), soit par la route (Q4 = 8 kms de piste).
J'opte évidemment pour la seconde solution et me fais déposer au croisement de la piste.
A l'épicerie, je laisse mon gros sac à dos et mon passeport (j'ai entendu dire qu'il pouvait y avoir des bandits sur la piste.
1h30,j'arrive enfin au site non sans m'être battu dans la jungle avec les moustiques !
Le grand avantage ici, c'est qu'il n'y a pas un chat, pas un seul touriste, donc le site entier est à moi !
Évidemment, il est beaucoup moins grand et donc moins important que Tikal, mais tout de même, il ne manque pas de charme.
Au moment où je pars, un autre garde arrive avec sa petite moto. Je sens la providence et lui demande s'il peut me ramener sur la route, moyennant finance cela va de soi. Mais ça m'éviterait les 8 kilomètres de retour sous le soleil battant, il est 13h...
Il accepte :)
De retour au croisement, un bus passe pour le sud 15 minutes plus tard. Je ne sais pas où je vais mais je sais que c'est vers le sud :).
On arrive vers 16h à Rux. Là, j'hésite, mais d'abord, il faut que je fonce dans un resto ! À 20 mètres se trouve un petit hôtel ou j'élis domicile. En effet, c'est risqué de continuer à cette heure là sans avoir de point de chute, ni connaître les transports suivants...
Une bonne douche, dont l'eau finit directement dans la rivière, est mon salut.
Le soir, je marche le long de la seule route du village et dégote un autre restaurant, plein de gens, c'est bon signe !
En lisant mon livre, que je n'avais pas lors de la visite de Ceibal, je me rends compte que j'ai zappé la moitié du site !!!
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