Dimanche 16 novembre
Réveil tôt
Dernière balade dans la Médina ; Sniff !!!
Arrivée à l’aéroport après avoir pris le taxi Mercedes pour 50 drh(négociation plutôt simple)
Nous venons de survoler le Nord du Maroc, maintenant l’Espagne. Tout à l’heure les Pyrénées et bientôt Paname….
You can choose your language here ;)
Marrakech
Samedi 15 novembre
Journée culturelle :
1 Palais El Badi (squatté par les cigognes)
2 Musée de Marrakech
3 Koubba Ba'Adiyn (enfin à coté ;))
4 La Médersa Ben Youssef
Nous sommes allés voir le monsieur qui faisait si bien de la Tanjia ; il nous a offert un thé et nous avons parlé de son métier de rôtisseur, des us et coutumes et des plantes qu’il utilisait pour le thé.
Recette : citronnelle, marjolaine, sauge et menthe +thé vert.
Puis très sympa il nous a conseillé un très bon restaurant « chez Chegrouni »,et nous nous sommes installés en terrasse où on pouvait voir la place Jemnaa el Fna. Très sympa d’ailleurs. Eclairée, en mouvement tout le temps et donc très vivante.
Une bonne soupe puis couscous et côtes d’agneaux pour nous 2 !
Et devinez quoi, on a pu écouter su grand écran du Rock’n’roll c’est à dire Les Rolling Stones en concert. Car c’était le festival du film de Marrakech d’où cet écran géant.
Pas mal comme conclusion de ce voyage. (Ann était aux anges : enfin du rock !)
Journée culturelle :
1 Palais El Badi (squatté par les cigognes)
2 Musée de Marrakech
3 Koubba Ba'Adiyn (enfin à coté ;))
4 La Médersa Ben Youssef
Nous sommes allés voir le monsieur qui faisait si bien de la Tanjia ; il nous a offert un thé et nous avons parlé de son métier de rôtisseur, des us et coutumes et des plantes qu’il utilisait pour le thé.
Recette : citronnelle, marjolaine, sauge et menthe +thé vert.
Puis très sympa il nous a conseillé un très bon restaurant « chez Chegrouni »,et nous nous sommes installés en terrasse où on pouvait voir la place Jemnaa el Fna. Très sympa d’ailleurs. Eclairée, en mouvement tout le temps et donc très vivante.
Une bonne soupe puis couscous et côtes d’agneaux pour nous 2 !
Et devinez quoi, on a pu écouter su grand écran du Rock’n’roll c’est à dire Les Rolling Stones en concert. Car c’était le festival du film de Marrakech d’où cet écran géant.
Pas mal comme conclusion de ce voyage. (Ann était aux anges : enfin du rock !)
Marrakech
Vendredi 14 novembre
Découverte des souks toute la journée.
Il en a autant que de corps de métier qui peuvent faire des objets pour les touristes ! (ex : cuir, métaux, bijoux, épices…)
Le midi des têtes de moutons sur des …m’interpellent. On s’y arrête pour y savourer de la Tanjia (mouton mariné pendant plusieurs heures.
Grande balade à pied le long de l’avenue Mohamed V après avoir rendu la voiture.
On craquera pour de la maroquinerie (Maroc qui rit;))
Ann craquerait pour tout... ;)
C’est le souk à Marrakech
Après un tour de calèche.
Des poteries, des bijoux et des babouches
Tout au long on nous appelle c’est louche !?
Des couleurs, des odeurs, des saveurs,
On a pris des couleurs.
On déguste du bon méchoui
C’est très bon, oh çà oui !
Découverte des souks toute la journée.
Il en a autant que de corps de métier qui peuvent faire des objets pour les touristes ! (ex : cuir, métaux, bijoux, épices…)
Le midi des têtes de moutons sur des …m’interpellent. On s’y arrête pour y savourer de la Tanjia (mouton mariné pendant plusieurs heures.
Grande balade à pied le long de l’avenue Mohamed V après avoir rendu la voiture.
On craquera pour de la maroquinerie (Maroc qui rit;))
Ann craquerait pour tout... ;)
C’est le souk à Marrakech
Après un tour de calèche.
Des poteries, des bijoux et des babouches
Tout au long on nous appelle c’est louche !?
Des couleurs, des odeurs, des saveurs,
On a pris des couleurs.
On déguste du bon méchoui
C’est très bon, oh çà oui !
De Ouarzazate à Marrakech
Jeudi 13 novembre
Petit déjeuner sur la grande place d’Ouarzazate. Thé et bonnes pâtisseries orientales. C’est le repère de beaucoup d’européen d’ailleurs.
Ensuite direction la Kasba Taourit par la piste à la sortie du village.
Après nous sommes allés au ksar Aït Benadou par des routes de montagne.
C’est l’un des plus impressionnants du Sud marocain. Nous évoluons dans ce dédale de ruelles jusqu’à son sommet, d’où nous avons une vue panoramique à 360°.
Puis re route de montagne pour Telouet, kasba abandonnée depuis le départ du glaoui, il y a environ 50 ans ; le clou de la visite est la salle de réception dont les sols et les murs sont recouverts de mosaïques.
Le haut des murs est finement ciselé en stuc tandis que le plafond est en bois de cèdres magnifiquement peint.
De part sa position stratégique, cette kasba jouit elle aussi d’une très belle vue sur la campagne environnante. Celle-ci est d’ailleurs très différente de celle d’Aït Benadou (température plus fraiche et terre plus cultivée.)
RereRe Route de montagne pour Marrakech
Arrêt obligé à notre barbecue de brochette où l’on s’était régalé à l’aller.
Soirée sur la place Jemnaa el Fna pour y écouter de la musique (quand on n’est pas harcelé pour donner des DH :()
Petit déjeuner sur la grande place d’Ouarzazate. Thé et bonnes pâtisseries orientales. C’est le repère de beaucoup d’européen d’ailleurs.
Ensuite direction la Kasba Taourit par la piste à la sortie du village.
Après nous sommes allés au ksar Aït Benadou par des routes de montagne.
C’est l’un des plus impressionnants du Sud marocain. Nous évoluons dans ce dédale de ruelles jusqu’à son sommet, d’où nous avons une vue panoramique à 360°.
Puis re route de montagne pour Telouet, kasba abandonnée depuis le départ du glaoui, il y a environ 50 ans ; le clou de la visite est la salle de réception dont les sols et les murs sont recouverts de mosaïques.
Le haut des murs est finement ciselé en stuc tandis que le plafond est en bois de cèdres magnifiquement peint.
De part sa position stratégique, cette kasba jouit elle aussi d’une très belle vue sur la campagne environnante. Celle-ci est d’ailleurs très différente de celle d’Aït Benadou (température plus fraiche et terre plus cultivée.)
RereRe Route de montagne pour Marrakech
Arrêt obligé à notre barbecue de brochette où l’on s’était régalé à l’aller.
Soirée sur la place Jemnaa el Fna pour y écouter de la musique (quand on n’est pas harcelé pour donner des DH :()
De Zagora à Ouarzazate
Mercredi 12 novembre
Petit déjeuner avec ce que l’on pouvait trouver sur le souk de Zagora : Bananes, dattes, brochette de bœuf pour PY…
Authentique ce souk !
Épices de toutes les couleurs, de toutes les odeurs, vendues en pyramide dans des plats. Cela donne de très belles photos…
Des poteries, des théières, des verres pour le thé, de l’art berbère…
Au coin légumes est fruits ; les clémentines sont en grand nombre mises par terre en grande pyramide. Pareil pour les oignons, et autres légumes.
Coin boucherie, je n’ai pas voulu y aller !
On pouvait voir des plantes aromatiques dans des grands sacs en toile disposés les uns à côté des autres. Ça sent bon et ça me rappelle mon enfance. J’essaie de reconnaître le type de plantes, mais je sèche pour beaucoup.
Direction Tamgroute où l’on visite ZaouÏra Naciri
Ce village est étonnant : les habitants habitent sous terre pour s’abriter de la chaleur je suppose. Dans les couloirs, il fait vraiment noir. On ne voit que le bout du tunnel.
Donc on rejoint le soleil et on marche dans le village. Un homme nous suit puis, un enfant ,pour faire le guide mais surtout pour avoir de l’argent..
Arrivé devant un magasin de poteries on nous invite à visiter l’atelier où sont faites les terres. On n’accepte très volontiers. Pierre Yves essaie même le tour et nous fait une très belle poterie. On admire les fours, les émaux verts qu’applique un homme sur des assiettes. Le petit bois pour faire le feu et toutes les poteries qui sèchent au soleil.
Direction Tamnoulgate où on devait admirer un ksar en haut d’une montagne. On voulait pour cela traverser l’oued mais le guet était détruit puis il faisait sombre, donc demi tour. Mais nous l’avons admiré.
La pleine lune nous éclairait sur la route d’Ouarzazate, tout en traversant les jbels. Quelques dates en encas acheté au marché.
Nuit à Ouarzazate.
Petit déjeuner avec ce que l’on pouvait trouver sur le souk de Zagora : Bananes, dattes, brochette de bœuf pour PY…
Authentique ce souk !
Épices de toutes les couleurs, de toutes les odeurs, vendues en pyramide dans des plats. Cela donne de très belles photos…
Des poteries, des théières, des verres pour le thé, de l’art berbère…
Au coin légumes est fruits ; les clémentines sont en grand nombre mises par terre en grande pyramide. Pareil pour les oignons, et autres légumes.
Coin boucherie, je n’ai pas voulu y aller !
On pouvait voir des plantes aromatiques dans des grands sacs en toile disposés les uns à côté des autres. Ça sent bon et ça me rappelle mon enfance. J’essaie de reconnaître le type de plantes, mais je sèche pour beaucoup.
Le jbel Zagora
Repas à notre bonne adresse : une très bonne tajine nous fait du bienDirection Tamgroute où l’on visite ZaouÏra Naciri
Ce village est étonnant : les habitants habitent sous terre pour s’abriter de la chaleur je suppose. Dans les couloirs, il fait vraiment noir. On ne voit que le bout du tunnel.
Donc on rejoint le soleil et on marche dans le village. Un homme nous suit puis, un enfant ,pour faire le guide mais surtout pour avoir de l’argent..
Arrivé devant un magasin de poteries on nous invite à visiter l’atelier où sont faites les terres. On n’accepte très volontiers. Pierre Yves essaie même le tour et nous fait une très belle poterie. On admire les fours, les émaux verts qu’applique un homme sur des assiettes. Le petit bois pour faire le feu et toutes les poteries qui sèchent au soleil.
Direction Tamnoulgate où on devait admirer un ksar en haut d’une montagne. On voulait pour cela traverser l’oued mais le guet était détruit puis il faisait sombre, donc demi tour. Mais nous l’avons admiré.
La pleine lune nous éclairait sur la route d’Ouarzazate, tout en traversant les jbels. Quelques dates en encas acheté au marché.
Nuit à Ouarzazate.
D'Erfoud à Zagora
Mardi 11 novembre
Petit déjeuner à l’auberge du petit prince et rencontre avec des quimperrois .D’ailleurs ils nous disent qu’en Bretagne la tempête a soufflé fort. A mon retour j’apprendrai que les skippers du Vendée Globe partiront dans ce grand vent .D’où des démâtages, trois en tout si mes souvenirs sont bons. Dur pour un départ du tour du monde !
Direction Rissani où l’on visite le mausolée Moulay Ali Chérif et les ruines du ksar Abbar à l’entrée de la ville.
Puis destination Zagora (5 H de route dans la montagne (jbel en arabe)
Pierre yves n’a pas mangé ce midi, il a choppé un mal de ventre, donc je conduirai jusque Zagora.
Zagora : chouette ville, on s’y promène dès notre arrivée.
Il mangera le soir chez un marocain local qui faisait de bonnes brochettes qu’il mettait dans du pain : un vrai kebab !!
Les petits ânes portent des feuilles de palmier
Qui servent à faire des paniers.
Petit déjeuner à l’auberge du petit prince et rencontre avec des quimperrois .D’ailleurs ils nous disent qu’en Bretagne la tempête a soufflé fort. A mon retour j’apprendrai que les skippers du Vendée Globe partiront dans ce grand vent .D’où des démâtages, trois en tout si mes souvenirs sont bons. Dur pour un départ du tour du monde !
Direction Rissani où l’on visite le mausolée Moulay Ali Chérif et les ruines du ksar Abbar à l’entrée de la ville.
Puis destination Zagora (5 H de route dans la montagne (jbel en arabe)
Pierre yves n’a pas mangé ce midi, il a choppé un mal de ventre, donc je conduirai jusque Zagora.
Zagora : chouette ville, on s’y promène dès notre arrivée.
Il mangera le soir chez un marocain local qui faisait de bonnes brochettes qu’il mettait dans du pain : un vrai kebab !!
Les petits ânes portent des feuilles de palmier
Qui servent à faire des paniers.
Erfoud
Lundi 10 novembre
Réveil à 6 heure du mat’, pour admirer le levé du soleil.
Paysage ensablé, dunes à l’ombre, d’autres au soleil.des traces de pas de toute sorte dans le sable : dromadaire, serpent, lézard, scarabée et d’autres dont on ne connait pas les traces.
Le sable est froid quand on le touche et confortable quand on s’assoit. Il est fin, très fin.
On aime d’ailleurs, comme dans la neige, marquer les premiers pas. On aime aussi prendre de l’élan du haut d’une dune et s’élancer vers la dune d’en face en courant. J’adore !!
Il n’y a personne .C’est calme. Bonnes sensations.
Le poème du routard
Le désert,
D’où viennent les berbères.
Il fait chaud,
Attention à notre peau !
Paysage de dunes, paysage doux
52 jours et on est à Tombouctou !
Trace dans le sable de lézard
Le soleil se lève, on part.
Tout à l’heure on fera du dromadaire
Le chamelier pensera se faire une affaire…
Et on boira du thé à la menthe
Tout en ayant la tête pensante.
Demain on ira jusqu’au lac
Avec le nécessaire dans notre sac.
Direction le lac Srji au milieu du désert noir (volcanique) et au loin les dunes de sable rosé.
Arrivé au lac, des libellules volent, des grosses fourmis travaillent et des lézards se baladent. Les oiseaux, dont les flamants roses ne sont pas au rendez vous .Dommage !
Les marocains, eux, sont là. Ils viennent jusqu’au lac en vélo avec leur sac plein de bijoux et attendent les touristes .On a d’ailleurs eu droit à leur visite…
On retourne à l’auberge se restaurer : Tajine au menu avec des petits oignons et du bœuf, délicieux !
Après ce bon repas nous voilà devant le chamelier qui doit nous faire faire une balade de deux heures en dromadaire en direction de la plus grande dune pour admirer le désert noir du côté de l’Algérie et les dunes de sable côté Maroc. Une belle frontière naturelle !
Splendide paysage, et c’est sympa de le découvrir à dos de dromadaire.
Arrivé au sommet de la dune, spectacle somptueux.
Au loin d’autres chameliers guidant des touristes. Puis des motos ou des quads s’amusent dans le sable, ce qui aujourd’hui se fait beaucoup et cela évidemment abîme le désert !!...
L'ami marocain
Réveil à 6 heure du mat’, pour admirer le levé du soleil.
Paysage ensablé, dunes à l’ombre, d’autres au soleil.des traces de pas de toute sorte dans le sable : dromadaire, serpent, lézard, scarabée et d’autres dont on ne connait pas les traces.
Le sable est froid quand on le touche et confortable quand on s’assoit. Il est fin, très fin.
On aime d’ailleurs, comme dans la neige, marquer les premiers pas. On aime aussi prendre de l’élan du haut d’une dune et s’élancer vers la dune d’en face en courant. J’adore !!
Il n’y a personne .C’est calme. Bonnes sensations.
Le poème du routard
Le désert,
D’où viennent les berbères.
Il fait chaud,
Attention à notre peau !
Paysage de dunes, paysage doux
52 jours et on est à Tombouctou !
Trace dans le sable de lézard
Le soleil se lève, on part.
Tout à l’heure on fera du dromadaire
Le chamelier pensera se faire une affaire…
Et on boira du thé à la menthe
Tout en ayant la tête pensante.
Demain on ira jusqu’au lac
Avec le nécessaire dans notre sac.
Direction le lac Srji au milieu du désert noir (volcanique) et au loin les dunes de sable rosé.
Arrivé au lac, des libellules volent, des grosses fourmis travaillent et des lézards se baladent. Les oiseaux, dont les flamants roses ne sont pas au rendez vous .Dommage !
Les marocains, eux, sont là. Ils viennent jusqu’au lac en vélo avec leur sac plein de bijoux et attendent les touristes .On a d’ailleurs eu droit à leur visite…
On retourne à l’auberge se restaurer : Tajine au menu avec des petits oignons et du bœuf, délicieux !
Après ce bon repas nous voilà devant le chamelier qui doit nous faire faire une balade de deux heures en dromadaire en direction de la plus grande dune pour admirer le désert noir du côté de l’Algérie et les dunes de sable côté Maroc. Une belle frontière naturelle !
Splendide paysage, et c’est sympa de le découvrir à dos de dromadaire.
Arrivé au sommet de la dune, spectacle somptueux.
Au loin d’autres chameliers guidant des touristes. Puis des motos ou des quads s’amusent dans le sable, ce qui aujourd’hui se fait beaucoup et cela évidemment abîme le désert !!...
L'ami marocain
J’ai pas l’air
Mais j’aime le dromadaire
J’ai pas l’air
Mais j’aime faire des affaires
J’ai pas l’air
Mais je ne manque pas d’air
J’ai pas l’air
Mais les touristes ça sert
Mais j’aime le dromadaire
J’ai pas l’air
Mais j’aime faire des affaires
J’ai pas l’air
Mais je ne manque pas d’air
J’ai pas l’air
Mais les touristes ça sert
De Boumalne à Erfoud
Dimanche 9 novembre
Bon petit déjeuner à l’auberge : Thé à la menthe, jus d’orange pressé avec du pain et de la marmelade.
Nous reprenons la route vers les Gorges de Todhra.
Premier arrêt au dessus de la palmeraie, " elle ressemble à un océan", où l’on admire des villages désertés en pisé rouge qui surplombent cette vallée. On s’arrête dans un village et nous commençons à marcher dans une partie de la palmeraie qui longe l’Oued. Des enfants nous ont courus après, pour échanger des euros avec des dirhams. Des hommes nous indiquaient la bonne route et les femmes lavaient leur linge dans l’oued. Elles se mettaient debout dans leur bassine et tapotaient avec leur pied leur linge ou elles se penchaient et frottaient avec leur main.
Cette palmeraie paraissait très verte très irriguée donc.
Ce midi, repas sur une place où nous attendait un barbecue avec des bonnes brochettes de bœuf. C’était bon. Nous reprenons la route vers Erfoud puis Rissani pour arriver aux portes du désert à Merzouga. D’ailleurs nous avons eu du mal à trouver la route des auberges qui se trouvaient près des dunes du désert : des jeunes en mobylette essayaient de nous guider pour qu’on leur donne quelques dirhams.
Quand on refusait ils nous donnaient une mauvaise direction. Il fallait donc demander à quelqu’un qui nous inspirait confiance. Ce que l’on a fait. Et finalement, nous étions sur la bonne route.
Dommage que la nuit soit tombée.
Nous voilà au pied des dunes de Merzouga à « l’auberge du petit prince », chambre à 150 dirhams repas à 60 dirhams, correct.
Attendons demain pour la surprise des yeux……
Bon petit déjeuner à l’auberge : Thé à la menthe, jus d’orange pressé avec du pain et de la marmelade.
Nous reprenons la route vers les Gorges de Todhra.
Premier arrêt au dessus de la palmeraie, " elle ressemble à un océan", où l’on admire des villages désertés en pisé rouge qui surplombent cette vallée. On s’arrête dans un village et nous commençons à marcher dans une partie de la palmeraie qui longe l’Oued. Des enfants nous ont courus après, pour échanger des euros avec des dirhams. Des hommes nous indiquaient la bonne route et les femmes lavaient leur linge dans l’oued. Elles se mettaient debout dans leur bassine et tapotaient avec leur pied leur linge ou elles se penchaient et frottaient avec leur main.
No comment ! ;)
Cette palmeraie paraissait très verte très irriguée donc.
Ce midi, repas sur une place où nous attendait un barbecue avec des bonnes brochettes de bœuf. C’était bon. Nous reprenons la route vers Erfoud puis Rissani pour arriver aux portes du désert à Merzouga. D’ailleurs nous avons eu du mal à trouver la route des auberges qui se trouvaient près des dunes du désert : des jeunes en mobylette essayaient de nous guider pour qu’on leur donne quelques dirhams.
Quand on refusait ils nous donnaient une mauvaise direction. Il fallait donc demander à quelqu’un qui nous inspirait confiance. Ce que l’on a fait. Et finalement, nous étions sur la bonne route.
Dommage que la nuit soit tombée.
Nous voilà au pied des dunes de Merzouga à « l’auberge du petit prince », chambre à 150 dirhams repas à 60 dirhams, correct.
Attendons demain pour la surprise des yeux……
Vallée du Dadès
Samedi 8 novembre
Petit déjeuner sur la grande place de Ouarzazate où nous nous sommes régalés de pâtisseries orientales avec un bon thé bien sur.
Ensuite direction Skoura, très belle route! Un petit arrêt à la palmeraie où on s’est baladé par nos propres moyens après avoir repoussé quelques « guides » ! :( . Nous avons vu la Kasba d’Amerhidil et deux autres dont celle d’Aït Moro
Quand l’on traverse la palmeraie on rencontre des enfants avec leur père qui ramassent des olives dans les oliviers. D’autres ramassent des dates dans les palmiers. Ils nous les envoient depuis le haut du palmier. C’est délicieux d’ailleurs. Des femmes ramassent à même le sol des herbes. Tout autour d’eux, et de la végétation, le système d’irrigation a l’air d’être efficace, la terre semble bonne à travailler.
Traversée de la vallée du dadès jusqu'aux gorges : paysage magnifique : des kasbas dans les montagnes rouges en longeant l’Oued. Splendide, à voir absolument !!!
14H Café Almanadir : on vient s’y restaurer devant la vue imprenable de la capitale de la rose : El Kellâa M’Gouna.
Dans les échoppes tout est à la rose : crème, shampoing, gel douche, henné, masque d’argile, parfum, eau de rose…Il y a même des colliers faits avec des roses séchées.
Nous regrettons d’ailleurs de ne pas être en Avril, Mai car nous aurions pu visiter l’usine de distillation, ainsi qu’admirer les champs de roses.
19 H Tinehrir, où nous avons trouvé une auberge bien traditionnelle : chez Aïssa. Très bien j’ai trouvé. Nous faisons un bon petit somme car le soleil nous a bien fatigués, et la route a été longue.
Petit déjeuner sur la grande place de Ouarzazate où nous nous sommes régalés de pâtisseries orientales avec un bon thé bien sur.
Ensuite direction Skoura, très belle route! Un petit arrêt à la palmeraie où on s’est baladé par nos propres moyens après avoir repoussé quelques « guides » ! :( . Nous avons vu la Kasba d’Amerhidil et deux autres dont celle d’Aït Moro
Quand l’on traverse la palmeraie on rencontre des enfants avec leur père qui ramassent des olives dans les oliviers. D’autres ramassent des dates dans les palmiers. Ils nous les envoient depuis le haut du palmier. C’est délicieux d’ailleurs. Des femmes ramassent à même le sol des herbes. Tout autour d’eux, et de la végétation, le système d’irrigation a l’air d’être efficace, la terre semble bonne à travailler.
Traversée de la vallée du dadès jusqu'aux gorges : paysage magnifique : des kasbas dans les montagnes rouges en longeant l’Oued. Splendide, à voir absolument !!!
14H Café Almanadir : on vient s’y restaurer devant la vue imprenable de la capitale de la rose : El Kellâa M’Gouna.
Dans les échoppes tout est à la rose : crème, shampoing, gel douche, henné, masque d’argile, parfum, eau de rose…Il y a même des colliers faits avec des roses séchées.
Nous regrettons d’ailleurs de ne pas être en Avril, Mai car nous aurions pu visiter l’usine de distillation, ainsi qu’admirer les champs de roses.
19 H Tinehrir, où nous avons trouvé une auberge bien traditionnelle : chez Aïssa. Très bien j’ai trouvé. Nous faisons un bon petit somme car le soleil nous a bien fatigués, et la route a été longue.
Atterrissage à Marrakech
Vendredi 7 novembre
Arrivée à Ouarzazate vers 20 heures, après une après midi de voiture sur la P31 :
Nous sommes partis de Marrakech aux environs de 15H30 après avoir attendu (bcp) que l’on nous installe un auto radio dans la voiture louée. Sur la route nous avons croisé beaucoup de petites charrettes tirées par des ânes, des femmes portant des feuilles de palmiers à même la tête. Des mobylettes, des vélos et beaucoup de gens à pied. Et j’oublie la fameuse Mercedes !
Dès que nous étions sur la route de Ouarzazate, nous nous sommes arrêtés au bord de la route où Pierre Yves avait repéré un barbecue. Il a bien eu raison car on a très bien mangé : de bonnes brochettes de dinde et de bœuf arrosé d’épices. Accompagné d’un bon thé.
On reprend le volant, content de s’être arrêté et commence à rouler normalement. Quand soudain, les voitures d’en face nous font des appels de phares. Pas inquiet, PY fait un signe de remerciement. Quand un policier lui demande de s’arrêter. Eh oui il n’avait pas vu le panneau 60 à l’heure mais celui de 80 : Amende de 400 dirhams ! Soit 40 euros. PY avait l’impression d’avoir été un peu eu. Puis c’est qu’on arrivait juste dans le pays. Mais bon !
Nous repartîmes dans un paysage de montagnes rouges parsemées de cactus. A quelques endroits, des bâtisses surplombaient ces montagnes que rejoignaient des enfants en grand nombre. Au loin, des sommets enneigés et le soleil caressant les montagnes donnaient une lumière splendide.
Petit à petit, et vite d’ailleurs, le soleil a donné place à la lune et aux étoiles. Il fallait être plus vigilant car la route devenait dangereuse par ces lacets incessants. PY s’est avéré bon conducteur !;)
A 30 kilomètres de Ouarzazate : deuxième arrestation ! Pareil les policiers demandent 400 dirhams ! AieAieAie ! Mais finalement RIEN.PY vous savez ne se laisse pas faire facilement….
En ce moment même un coiffeur coupe les cheveux de mon cher et tendre avant de se rendre au restaurant.
Nous y sommes .Tajine au poulet au menu. Accompagné d’un thé.
Partout, quand on rentre à l’intérieur d’un café ou d’un restaurant, même chez le coiffeur ; la télé est allumé et on parle d’Obama, nouveau président américain.
Arrivée à Ouarzazate vers 20 heures, après une après midi de voiture sur la P31 :
Nous sommes partis de Marrakech aux environs de 15H30 après avoir attendu (bcp) que l’on nous installe un auto radio dans la voiture louée. Sur la route nous avons croisé beaucoup de petites charrettes tirées par des ânes, des femmes portant des feuilles de palmiers à même la tête. Des mobylettes, des vélos et beaucoup de gens à pied. Et j’oublie la fameuse Mercedes !
Dès que nous étions sur la route de Ouarzazate, nous nous sommes arrêtés au bord de la route où Pierre Yves avait repéré un barbecue. Il a bien eu raison car on a très bien mangé : de bonnes brochettes de dinde et de bœuf arrosé d’épices. Accompagné d’un bon thé.
On reprend le volant, content de s’être arrêté et commence à rouler normalement. Quand soudain, les voitures d’en face nous font des appels de phares. Pas inquiet, PY fait un signe de remerciement. Quand un policier lui demande de s’arrêter. Eh oui il n’avait pas vu le panneau 60 à l’heure mais celui de 80 : Amende de 400 dirhams ! Soit 40 euros. PY avait l’impression d’avoir été un peu eu. Puis c’est qu’on arrivait juste dans le pays. Mais bon !
Nous repartîmes dans un paysage de montagnes rouges parsemées de cactus. A quelques endroits, des bâtisses surplombaient ces montagnes que rejoignaient des enfants en grand nombre. Au loin, des sommets enneigés et le soleil caressant les montagnes donnaient une lumière splendide.
Petit à petit, et vite d’ailleurs, le soleil a donné place à la lune et aux étoiles. Il fallait être plus vigilant car la route devenait dangereuse par ces lacets incessants. PY s’est avéré bon conducteur !;)
A 30 kilomètres de Ouarzazate : deuxième arrestation ! Pareil les policiers demandent 400 dirhams ! AieAieAie ! Mais finalement RIEN.PY vous savez ne se laisse pas faire facilement….
En ce moment même un coiffeur coupe les cheveux de mon cher et tendre avant de se rendre au restaurant.
Nous y sommes .Tajine au poulet au menu. Accompagné d’un thé.
Partout, quand on rentre à l’intérieur d’un café ou d’un restaurant, même chez le coiffeur ; la télé est allumé et on parle d’Obama, nouveau président américain.
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