Dimanche 9 novembre
Bon petit déjeuner à l’auberge : Thé à la menthe, jus d’orange pressé avec du pain et de la marmelade.
Nous reprenons la route vers les Gorges de Todhra.
Premier arrêt au dessus de la palmeraie, " elle ressemble à un océan", où l’on admire des villages désertés en pisé rouge qui surplombent cette vallée. On s’arrête dans un village et nous commençons à marcher dans une partie de la palmeraie qui longe l’Oued. Des enfants nous ont courus après, pour échanger des euros avec des dirhams. Des hommes nous indiquaient la bonne route et les femmes lavaient leur linge dans l’oued. Elles se mettaient debout dans leur bassine et tapotaient avec leur pied leur linge ou elles se penchaient et frottaient avec leur main.
Cette palmeraie paraissait très verte très irriguée donc.
Ce midi, repas sur une place où nous attendait un barbecue avec des bonnes brochettes de bœuf. C’était bon. Nous reprenons la route vers Erfoud puis Rissani pour arriver aux portes du désert à Merzouga. D’ailleurs nous avons eu du mal à trouver la route des auberges qui se trouvaient près des dunes du désert : des jeunes en mobylette essayaient de nous guider pour qu’on leur donne quelques dirhams.
Quand on refusait ils nous donnaient une mauvaise direction. Il fallait donc demander à quelqu’un qui nous inspirait confiance. Ce que l’on a fait. Et finalement, nous étions sur la bonne route.
Dommage que la nuit soit tombée.
Nous voilà au pied des dunes de Merzouga à « l’auberge du petit prince », chambre à 150 dirhams repas à 60 dirhams, correct.
Attendons demain pour la surprise des yeux……
Bon petit déjeuner à l’auberge : Thé à la menthe, jus d’orange pressé avec du pain et de la marmelade.
Nous reprenons la route vers les Gorges de Todhra.
Premier arrêt au dessus de la palmeraie, " elle ressemble à un océan", où l’on admire des villages désertés en pisé rouge qui surplombent cette vallée. On s’arrête dans un village et nous commençons à marcher dans une partie de la palmeraie qui longe l’Oued. Des enfants nous ont courus après, pour échanger des euros avec des dirhams. Des hommes nous indiquaient la bonne route et les femmes lavaient leur linge dans l’oued. Elles se mettaient debout dans leur bassine et tapotaient avec leur pied leur linge ou elles se penchaient et frottaient avec leur main.
No comment ! ;)
Cette palmeraie paraissait très verte très irriguée donc.
Ce midi, repas sur une place où nous attendait un barbecue avec des bonnes brochettes de bœuf. C’était bon. Nous reprenons la route vers Erfoud puis Rissani pour arriver aux portes du désert à Merzouga. D’ailleurs nous avons eu du mal à trouver la route des auberges qui se trouvaient près des dunes du désert : des jeunes en mobylette essayaient de nous guider pour qu’on leur donne quelques dirhams.
Quand on refusait ils nous donnaient une mauvaise direction. Il fallait donc demander à quelqu’un qui nous inspirait confiance. Ce que l’on a fait. Et finalement, nous étions sur la bonne route.
Dommage que la nuit soit tombée.
Nous voilà au pied des dunes de Merzouga à « l’auberge du petit prince », chambre à 150 dirhams repas à 60 dirhams, correct.
Attendons demain pour la surprise des yeux……
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire