Lundi 10 septembre 2012
Au cour de mes précédents voyages , j'ai rencontré des gens avec qui j'ai gardé le contact.
Nous nous rendons à HCMC (Ho Chi Minh city ou Saigon au Vietnam) pour visiter 2 - 3 amies.
Ann travaille dans une agence de voyage par laquelle je suis passé pour faire une excursion il y a 1 an et demi. Nous avons gardé contact et elle a eu un bébé depuis, c'est donc l'occasion de se retrouver !
Elle a la gentillesse (à la dure : elle n'a pas assez d'argent pour s'acheter un matelas !!!!) de nous accueillir chez elle la première nuit.
Pourquoi pas plus ? tout simplement car il faut s'enregistrer à la police quand on reçoit du monde ... que ce soit des vietnamiens ou des étrangers !!!! Et il y a pas mal de délation ... Vive le communisme ..
Une autre amie est venue nous chercher à l'aéroport et prend Putri comme passagère.
Je ne peux pas laisser partir 2 filles comme ça :-)
J'enfile alors mes patins & nous fonçons en direction du centre ville ;)
Autant dire que là encore, on me prend pour un extraterrestre, mais quel pied : patiner de nuit à Saigon dans cette nébuleuse tentaculaire dont le trafic de 2 roues est ahurissant.
Au cour de mes précédents voyages , j'ai rencontré des gens avec qui j'ai gardé le contact.
Nous nous rendons à HCMC (Ho Chi Minh city ou Saigon au Vietnam) pour visiter 2 - 3 amies.
Ann travaille dans une agence de voyage par laquelle je suis passé pour faire une excursion il y a 1 an et demi. Nous avons gardé contact et elle a eu un bébé depuis, c'est donc l'occasion de se retrouver !
Elle a la gentillesse (à la dure : elle n'a pas assez d'argent pour s'acheter un matelas !!!!) de nous accueillir chez elle la première nuit.
Pourquoi pas plus ? tout simplement car il faut s'enregistrer à la police quand on reçoit du monde ... que ce soit des vietnamiens ou des étrangers !!!! Et il y a pas mal de délation ... Vive le communisme ..
Je ne peux pas laisser partir 2 filles comme ça :-)
J'enfile alors mes patins & nous fonçons en direction du centre ville ;)
Autant dire que là encore, on me prend pour un extraterrestre, mais quel pied : patiner de nuit à Saigon dans cette nébuleuse tentaculaire dont le trafic de 2 roues est ahurissant.
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