Vendredi 2 septembre 2016
Ayant dormi à 2 pas, je me rends en centre ville de Piran de bon matin. C'est juste un tour superficiel car j'ai un planning chargé pour la journée !
Puis je me rends aux Grottes de Škocjan. Inscrites au patrimoine mondial de l'Unesco, il s'agit de la plus grande zone humide souterraine au monde.
Photos strictement interdites... dur dur d'en faire dans le noir quasi total dans ces conditions.
A une heure de là, se trouve une autre grotte, plus spectaculaire, plus grande, plus populaire. La Grotte de Postojna
Accessible en petit train sur les premiers kilomètres, elle dévoile ensuite de superbes stalactites et stalagmites et quelques chambres nues.
A une dizaine de kilomètres de là, se tient le Château de Predjama
Le château réputé imprenable, résista pendant un an à un siège. Il profita des multiples grottes attenantes pour se ravitailler et puiser de l'eau
A droite, la falaise dont le bas a été entaillé pour récupérer l'eau et à gauche, la construction.
Tout ceci s'imbrique parfaitement, à tel point que l'on ne distingue pas la limite.
Puis, je continue jusqu'à la frontière autrichienne.
Ayant dormi à 2 pas, je me rends en centre ville de Piran de bon matin. C'est juste un tour superficiel car j'ai un planning chargé pour la journée !
Puis je me rends aux Grottes de Škocjan. Inscrites au patrimoine mondial de l'Unesco, il s'agit de la plus grande zone humide souterraine au monde.
Photos strictement interdites... dur dur d'en faire dans le noir quasi total dans ces conditions.
A une heure de là, se trouve une autre grotte, plus spectaculaire, plus grande, plus populaire. La Grotte de Postojna
Accessible en petit train sur les premiers kilomètres, elle dévoile ensuite de superbes stalactites et stalagmites et quelques chambres nues.
A une dizaine de kilomètres de là, se tient le Château de Predjama
Le château réputé imprenable, résista pendant un an à un siège. Il profita des multiples grottes attenantes pour se ravitailler et puiser de l'eau
A droite, la falaise dont le bas a été entaillé pour récupérer l'eau et à gauche, la construction.
Tout ceci s'imbrique parfaitement, à tel point que l'on ne distingue pas la limite.
Puis, je continue jusqu'à la frontière autrichienne.
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